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Dame Corisande, indomptable et romanesque.
Important. <------Ce livre ayant eu sa couverture plagiée par un éditeur peu scrupuleux, j'ai décidé de le présenter avec un nouveau titre et une couverture différente.-------> Le texte est resté le même.
ISBN 978-2-9547086-7-6
Bonjour Monsieur Lamaison, J'ai lu avec beaucoup de plaisir ce roman que vous présentiez au salon du livre de Léon en août dernier. J'ai bien senti que l'épluchage de la correspondance de Diane d'Andouins et d'Henry de Navarre vous avait fourni la trame de ce roman. J'y ai découvert aussi que le H avec les 2 C enlacés, c'est le monogramme du royaume de Navarre et que le même monogramme sculpté sur la porte de Pé de Peyran n'est pas la preuve qu'il y avait là le RV galant de Corisande et du royal et fougueux amant que l’on a bien voulu nous faire accroire. Merci pour cette saine et rafraichissante lecture. Bien cordialement, Françoise Lagardère
Que J’aime les prises de position des auteurs qui cherchent à passer derrière le rideau ! Tout le Sud-Ouest connaît l’histoire de la belle Corisande avec Henry de Navarre devenu Henry IV, roi de tous les français. Mais savent-ils que derrière la femme présentée seulement comme la maîtresse de… il pouvait peut-être y avoir un être qui raisonnait et s’assumait ? Si j’avais apprécié « Lettres & confidences de Corisande & du Vert Galant », j’ai eu encore plus de plaisir à suivre ce roman construit sur des faits historiques mais avec un angle de vue faisant la part belle à la liberté d’une femme pour décider de ce qui la ferait souffrir.
Les chroniques d'Elyane
Bonne nouvelle pour les fidèles lecteurs de notre ami Alain Lamaison. Vient de sortir aux éditons Rémiges à Hagetmau un nouvel opus, clairement affiché dans le domaine romanesque, inspiré par l'amour d'Henri de Navarre, autant que de l'auteur, pour la Belle Corisande, éternel objet de ses hommages. Quoi de mieux que l'argumentaire de la quatrième de couverture pour nous mettre l'eau à la bouche ? Un roman qui se lit comme de l'histoire vivante... Jacques de Cauna.
La trame historique est de qualité et la question du partage de la couche est savoureuse. Eliane
Le cliché légendaire et populaire attachée à Diane d’Andoins, la belle Corisande, la montre “maîtresse”, voire “catin du roi”. Or, son intelligence et les convictions religieuses qui l’animaient laissent douter de sa soumission, ce qui ne fut pas le cas pour les nombreuses conquêtes féminines d’Henry de Navarre. Ce fut dans le contexte des guerres de religion que Corisande catholique, pieuse et pratiquante intègre, devint l’amie intime et la confidente de Catherine de Navarre, sœur d’Henry et huguenote emblématique. Cette relation quasi fraternelle, fut à l’origine de la rencontre d’Henry et Corisande et des amours qualifiés d’épistolaires s’établirent entre les deux personnages. Charmée par l’esprit chevaleresque de celui qui se battait à un contre six et qui graciait les prisonniers vaincus, elle décida de mettre sa fortune colossale à la disposition du chef militaire des huguenots alors en peine de combattants, en finançant des troupes de 23000 gascons. Ce mécénat permit à Henry de vaincre et d’accéder au trône de France. Leur aventure romanesque reste à découvrir dans ce récit qui, à travers les faits historiques, laisse une belle part à l’imaginaire et se veut être un hommage à cette héroïne.