Merci aux  visiteurs qui ont fait progresser ce site
et qui l'ont fait connaître.



Lisez cette formidable saga (peut-être à ne pas mettre entre toutes les mains) qui m’a rappelé, dans un autre style mais tout aussi passionnant, le roman de Ken Follet, « Les piliers de la terre ».   Jean-Louis Le Breton, éditorialiste & journaliste.
Monsieur Lamaison. Je me suis "régalée" cet été à la lecture des trois tomes de "La Rose Manganèse". Vous avez beaucoup de talent pour faire vivre vos personnages, souvent un peu fous, il faut le dire, mais de la folie des siècles passés et l'on apprend beaucoup sur les mœurs de cette époque. Des personnages que l'on suit avec grand intérêt et les plus touchants nous émeuvent. Quant à l'histoire de la faïencerie, elle est passionnante et précise : vous avez fait beaucoup de recherches, et l'histoire de tous ces êtres exceptionnels est très agréable à lire. On vit avec eux...
Merci pour tant de talent. Ecrivez-nous encore de beaux livres ! Bonne continuation. Cordialement.    M.-J. Levet
Bonjour,     Mon mari et moi-même venons de lire « Les chênes de Peyrelongue » et ce roman nous a bien plu. Il y a du suspense, du réalisme et du romanesque, bref, c’est presque de l’Alexandre Dumas ! Donc, il nous tarde de lire la suite… et je vous passe commande des deux tomes suivants, « La malédiction du cheval cabré » et « Fanchon ».
Monsieur Lamaison,     J'ai acheté votre livre dimanche à Geaune (nous sommes jeudi). Hop, fini ! non, dévoré, emporté par les personnages, allant des landes au Portugal, j'ai été avalé par cette histoire qui m'a fait frémir à la mort de certains personnages, le cœur ouvert par d'autres et la haine frémissante pour certains. Que dire sinon, pourvu qu'il y en ait d'autres. Vous avez le talent de nous emmener "ailleurs", les yeux ouverts sur un monde oublié de tous mais tellement présent à la lecture. Nous pouvons nous plaindre avec nos petits tracas et nos misères ridicules, vos écrits nous remettent en mémoires les affres de nos anciens, il faut relativiser et penser qu'ils ont par leurs travaux, leurs souffrances et aussi leurs espoirs, ouvert la voie qui conduit jusqu'à nous.
Alors merci pour cette promenade rude et instructive. Salutations respectueuses.          Jacques Hourie-claverie
Après mon épouse, je viens de lire avec grand plaisir les péripéties de votre saga Brouchicot. Un livre vivant, bien écrit et qui m'a fait passer de bons moments. Le lecteur est bien tenu en haleine et ne s'ennuie jamais. Un bon livre. Bravo.              Jacques Grieu, écrivain.
 Bonjour,     J'ai dévoré "Les chênes de Peyrelongue", que j'ai beaucoup apprécié.  "La maladiction du cheval cabré" ne m'a pas rassasiée et me fait ardemment désirer le troisième opus.   Facile à lire et surtout bien écrit, merci pour ces moments de lecture très intense.
Amicalement.    Mme Midavaine
Bonsoir Mr Lamaison.    Comme mon mari vous le dit en tête de son e-mail, j’ai accaparé votre livre et je l'ai dévoré du début à la fin. Quel merveilleux conteur vous faites. Il y a très longtemps que je ne me suis pas régalé autant à la lecture d'un livre. Votre français est excellent, savoureux, il coule...........  J'aime énormément notre langue, d'ailleurs, je l'enseigne bénévolement dans une association de soutien scolaire pour enfants en difficulté. Vous méritez d'être connu et surtout, d'être lu. Encore une fois, bravo!!   Je vous souhaite beaucoup de succès et je vous envoie mon amitié.  
Bonjour Monsieur Lamaison.       Quel bonheur de trouver dans ce livre tant de sentiments différents. Cette saga mérite qu’on lui prête une grande attention. Nous nous sommes régalés avec vos deux premiers tomes et nous avons beaucoup appris sur les mœurs et les coutumes de ce siècle des « Lumières ».  Faites-nous savoir la sortie du troisième tome… nous sommes pressés de vous lire.   Acceptez notre amitié.
             Olga et Pierre Michaux (Bordeaux)
Bonjour.       J’ai hésité avant de vous envoyer ce mail, mais je n’ai pas supporté l’idée de ne pas vous remercier du plaisir que j’ai eu à voyager dans le temps, dans notre contrée Aquitaine que vous devez aimer… cela se devine dans vos écrits. L’histoire de ces personnages est bien bâtie et les retournements de situations sont inattendus et m’ont tenue en haleine jusqu’à la fin du troisième tome. Je suis quand même un peu fâchée contre vous car vous m'avez fait attendre deux ans avant de réaliser ce troisième volet qui vient parachever de façon merveilleuse la trilogie qui porte bien son titre "La rose manganèse". A bientôt j’espère, au hasard d’une rencontre sur un salon ou lors d’une de vos dédicaces.             Myriam Volo.

            

 

"La Rose Manganèse"
Tome 1

"Les chênes de Peyrelongue"
Roman historique.

281 pages

ISBN 978-2-35291-013-8

 
 
Extrait de texte.
La femme de “ce brave Rostaing” continuerait de s’occuper de la petite qui oubliera.
Avec le temps, beaucoup d’autres filles ont oublié.
Huit mois plus tard, Rosine Servien mourrait dans d’atroces souffrances en mettant au monde un bébé de sexe masculin. Elle fut enterrée discrètement, hors des murs du cimetière des chrétiens, et le curé refusa de lui donner les derniers sacrements compte tenu qu’elle n’avait jamais été entendue en confession pour le crime qu’elle avait commis en se trouvant grosse d’un bâtard, et par conséquent, son bébé ne put être baptisé.
Néanmoins, malgré toute cette honte qui venait salir sa respectable maison, le “brave Rostaing” accepta de le garder le nourrisson… en attendant.
Le bruit parvint assez vite à Cazalon que le père de cet enfant ne pouvait être qu’Anselme Brouchicot, puisque la petite servante, qui était restée prostrée durant plusieurs semaines après son viol, n’avait pu connaître d’autre homme que lui. Lorsqu’il eut vent de cette rumeur, Anselme ne s’en offusqua pas et ne se cacha pas d’être le père de ce bâtard. Son orgueil de mâle s’en trouva plutôt flatté. Pour un quinquagénaire aussi imbu de sa personne, l’exploit lui parut appréciable voire honorable. Il ne ressentit aucun sentiment de culpabilité lorsqu’il fut informé de l’infortune de la fillette, ni aucun remords lorsqu’il connut les circonstances sordides de sa mort. C’était ainsi… La malchance ! Après tout, il ne l’avait baisée qu’une seule fois, et il avait l’excuse d’avoir été poussé par son instinct naturel. “Tous les hommes auraient agi de la même façon devant tant de beauté, et tous auraient voulu se trouver à ma place,” finit-il par se dire pour se donner bonne conscience.
 

                                  
 


 
 
                                                                                                                                                                                                  



Créer un site
Créer un site